Pourquoi avons-nous des symptômes ?
Comprendre le lien corps-esprit
Le symptôme, souvent vécu comme un problème, est en fait une solution, il a son utilité, celle de nous prévenir d’un besoin non satisfait.
Car nous vivons avec 16% de conscient, notre perception au quotidien et 84% d’inconscient où tout notre vécu émotionnel est enregistré.
Mais aussi tous nos chocs et traumatismes s’impriment dans différentes parties de notre corps, car il est le théâtre de notre vie affective.
En effet, les émotions qui nous traversent nous laissent des ressentis physiques (colère, peur, frustration, dégoût, tristesse…).
Chaque symptôme à sa raison d'être
Et notre cerveau est fainéant car son but est de nous garder en vie l’instant d’après.
En fonction de ce que nous vivons dans notre vie maintenant, il va scanner dans notre passé la situation similaire où nous avons survécu et nous faire réagir de la même façon.
« Tu as déjà survécu à cette émotion, alors tu peux survivre de la même façon. »
Mais ce qui nous a aidés dans le passé nous limite dans le présent, car ce n’est plus d’actualité. Cette limitation va créer le symptôme.
L'important n'est pas l'évènement, mais la façon de le vivre
Le symptôme qui s’exprime nous parle d’un évènement qui a été vécu dans le passé et qui est réactivé par rapport à ce que nous vivons aujourd’hui.
C’est comme une lumière qui s’allume en nous. Tant que nous ne comprenons pas son message, elle va s’allumer de plus en plus fort jusqu’à avoir une deuxième lumière ailleurs. Et les symptômes s’accumulent.
Alors nous allons essayer de l’éteindre avec des médicaments, des techniques mentales, physiques…
Mais le but n’est pas d’éteindre la lumière, mais de débrancher la prise pour que le symptôme disparaisse définitivement.
Comment débrancher la prise du symptôme ?
Il faut prendre l’être humain dans sa globalité, car nous fonctionnons avec du mental, de l’émotionnel, de l’énergie, du physique et du relationnel.
Seul, il ne nous arrive rien, mais dès que nous vivons en société, nous sortons de notre zone de confort.
Si nous traitons le symptôme qu’au niveau mental ou physique, par exemple, nous ne prenons pas en compte les autres composants.
Donc le symptôme reviendra inévitablement, car le message ne sera pas complet.
C’est pour cela qu’il faut comprendre le message et la signification du symptôme dans tous les contextes.
Prenons un exemple : je fais des crises d’angoisse.
L’angoisse se caractérise par une perte de contrôle physique et mentale. Une sensation d’oppression, d’étouffement. Un sentiment d’être pris au piège, de ne plus pouvoir s’exprimer, respirer. Créant une insécurité, une peur d’un danger imminent que je ne peux identifier, une perte de confiance dans mes capacités.
Le but de chaque séance est d’aller chercher, en passant par le corps et par l’inconscient, les informations enregistrées au niveau :
– Physique : la signification de la zone du corps où est localisé le symptôme, qu’est-ce qu’il m’empêche de faire…
– Emotionnel : quelles émotions sont en lien avec le symptôme…
– Mental : quelles peurs ou croyances réagissent par rapport à ce symptôme…
– Energétique : quel méridien avec son émotion, son comportement, son point d’acupuncture est impacté par ce symptôme…
– Relationnel : chercher dans l’inconscient le moment du passé où nous nous sommes sentis pris au piège, oppressés… en lien avec la situation actuelle…
En comprenant la signification de nos symptômes et en débranchant sa racine au moment où il s’est imprimé la première fois dans le corps, nos symptômes disparaitront définitivement.
